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samedi 2 juin 2012

L'infidélité masculine brise le coeur

« Il voulait être César, il a fini Pompée ! »
(Clémenceau au sujet du président Félix Faure trouvé ad patres dans les bras de sa maîtresse *)

On veut parler du coeur de l'homme ; concernant celui de la femme trompée, la question ne se pose pas. Un chercheur a eu la très mauvaise idée de passer en revue toutes les études qui concernaient l'infidélité. Il est très difficile d'avoir une idée exacte du nombre d'hommes infidèles. La probabilité minimum qu'un homme soit au moins une fois infidèle dans sa vie serait comprise entre 15 % et 50 % (oui ! une chance sur deux, mais c'est le maximum possible encore une fois...).


Maintenant, les cocues peuvent avoir la satisfaction compensatrice que l'infidélité n'est pas vraiment bonne pour le coeur de l'homme infidèle. L'acte sexuel en soi est bon pour la santé, mais, comme le sport, il comporte aussi ses risques !

D'après ce que les diverses études ont relevé, les « morts soudaines en plein coït » (les attaques cardiaques non fatales également) sont bien plus prévalentes lors d'une relation extraconjugale que lors d'une relation conjugale. Le décès est souvent provoqué par un détachement de plaque de graisse dans les artères lors de galipettes un peu trop soutenues. En second viennent les attaques cardiaques classiques.

Les chercheurs ne connaissent pas la raison de cette différence, mais ils ont envie de rassurer les épouses en faisant l'hypothèse que leur geste agréable (Oups ! je voulais écrire « amoral », mais mes doigts ont glissé sur le clavier) faisait qu'ils en avaient gros sur le coeur... (ou plutôt le stress d'être pris la main dans le sac).

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