« Ma vie commença dans un petit pays, en un petit village, et dans un
petit monde (..) j’aime dire que mon village était si petit que seul
une vache et moi rentrions dedans » écrit-elle Née en 1919, décédée en 2012, sa musique accompagne le film "Frida" avec Salma Hayek...
la légende mexicaine de la "llorona"(la pleureuse) :
C'est la légende mexicaine la plus connue, au point que des descendants d'immigrants aux USA et au Canada assurent avoir vu la Llorona au bord des rivières.
Il existe plusieurs versions de cette légende, mais la plus populaire raconte que, au milieu du XVI° siècle, les habitants du Mexique prenaient l'habitude de se réfugier dans leurs foyers à l'heure du couvre-feu. Les survivants de l'ancienne Tenochtitlan en particulier fermaient portes et fenêtres, et toutes les nuits certains se réveillaient au son des pleurs d'une femme qui déambulait dans les rues.
Ceux qui s'enquirent de la cause des pleurs durant les nuits de pleine lune dirent que la lumière leur permettait de voir que les rues se remplissaient d'un brouillard épais au ras du sol. Ils voyaient aussi une personne semblable à une femme, vêtue de blanc et le visage recouvert d'un voile, parcourant les rues à pas lents dans toutes les directions de la ville. Mais elle s'arrêtait toujours sur la grand place ( Zocalo) pour s'agenouiller et lever son visage vers l'est, puis elle se levait et reprenait sa route. Arrivée sur la rive du lac de Texcoco, elle disparaissait. Peu se risquèrent à s'approcher de la manifestation fantomatique : mais ils apprenaient des révélations effrayantes, ou mouraient.
la légende mexicaine de la "llorona"(la pleureuse) :
C'est la légende mexicaine la plus connue, au point que des descendants d'immigrants aux USA et au Canada assurent avoir vu la Llorona au bord des rivières.
Il existe plusieurs versions de cette légende, mais la plus populaire raconte que, au milieu du XVI° siècle, les habitants du Mexique prenaient l'habitude de se réfugier dans leurs foyers à l'heure du couvre-feu. Les survivants de l'ancienne Tenochtitlan en particulier fermaient portes et fenêtres, et toutes les nuits certains se réveillaient au son des pleurs d'une femme qui déambulait dans les rues.
Ceux qui s'enquirent de la cause des pleurs durant les nuits de pleine lune dirent que la lumière leur permettait de voir que les rues se remplissaient d'un brouillard épais au ras du sol. Ils voyaient aussi une personne semblable à une femme, vêtue de blanc et le visage recouvert d'un voile, parcourant les rues à pas lents dans toutes les directions de la ville. Mais elle s'arrêtait toujours sur la grand place ( Zocalo) pour s'agenouiller et lever son visage vers l'est, puis elle se levait et reprenait sa route. Arrivée sur la rive du lac de Texcoco, elle disparaissait. Peu se risquèrent à s'approcher de la manifestation fantomatique : mais ils apprenaient des révélations effrayantes, ou mouraient.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire