Mario Conde, le sympathique inspecteur de police, enquête dans le quartier chinois...
Leonardo Padura, l'auteur de cet excellent roman, précise :
"l'histoire
est une fiction, même si elle contient une forte dose de réalité. Ici,
derrière l'aventure policière qui entraîne Mario Conde, on trouve
l'histoire d'un déracinement qui m'a toujours beaucoup ému : celui des
Chinois qui sont venus à Cuba, semblables à tant d'autres émigrants
économiques. La solitude et le déracinement sont, logiquement, le sujet
de cette histoire qui n'a pas eu lieu mais aurait pu être."
5 commentaires:
Je n'ai pas lu le roman cité,mais "Adieu, Hemingway" de Leonardo Padura. Le personnage principal est le même: Mario Conde.
Dans la maison de Hemingway à Cojimar on a trouvé une squelette d'une personne morte il y a 40 ans à l'époque où l'écrivain vivait à Cuba...
Dans le récit il y a deux narrateurs: Mario Conde et Hemingway...
Très bonne lecture! Elena.
Merci Elena, je vais rechercher l'ouvrage dont tu nous parles et le mettre sur ce blog.Toutes mes amitiés, ici c'est le grand froid de Sibérie qui nous gagne...Bonne journée...
Toussaint
Et chez nous la température est -23 brrrr Mais avec un grand soleil (trompeur!!!!!!!!!)
Elena
Avec de la chance (j'en ai eue !), vous pouvez trouver les deux en un à Cuba, éd. UNIÓN: « Adiós Hemingway & La cola de la serpiente » (on notera que le traducteur français s’est légèrement éloigné de l’idée initiale dans le cas de la seconde nouvelle) pour la somme modique de 15 pesos « moneda nacional », ce qui, au cours actuel, doit faire dans les 50 centimes d’euro !
yuma
merci de votre commentaire Yuma (à Cuba le yuma est toujours l'étranger de quelqu'un...), en effet 15 pesos monedas nacional c'est une affaire, surtout lorsque l'on sait que trouver de la littérature autre que la vie du Che ou de Fidel n'est pas évident à Cuba à part dans la calle Obispo....
Amitiés
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