Depuis l'annonce par Jean Louis Borloo de son départ de l'UMP, dans la perspective d'une éventuelle candidature à la présidentielle en 2012, l'heure était à la discrétion à l'Elysée. Mercredi 13 avril, Nicolas Sarkozy est sorti de son silence et s'est efforcé, à l'occasion du déjeuner mensuel des députés UMP, de rassurer ces derniers à propos des divisions qui apparaissent, de plus en plus importantes, au sein du parti présidentiel. "La situation, je la sens bien pour 2012 !", s'est exclamé le président de la République, sans toutefois mentionner explicitement sa candidature – qui ne fait pas de doute aux yeux des élus UMP.
Auparavant, le secrétaire général de l'UMP, Jean François Copé, s'était déclaré "très préoccupé" par la question, à la suite des déclarations de Jean Louis Borloo : "Mon rôle est d'alerter qu'une multiplication de candidatures pourrait faire perdre notre camp et serait suicidaire pour les valeurs que nous défendons."
Auparavant, le secrétaire général de l'UMP, Jean François Copé, s'était déclaré "très préoccupé" par la question, à la suite des déclarations de Jean Louis Borloo : "Mon rôle est d'alerter qu'une multiplication de candidatures pourrait faire perdre notre camp et serait suicidaire pour les valeurs que nous défendons."
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